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France / Depuis la crise sanitaire, la navale recrute des sous-mariniers en ligne

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Les forces sous-marines proposent 25 métiers et pas moins de 80 qualifications

Mécanicien, atomicien, technicien systèmes d’information, réseaux et télécommunications, cuisinier… tous les ans, plus de 300 sous-mariniers viennent intégrer les forces sous-marines, et ce dans des métiers aussi nombreux que variés. Les forces sous-marines proposent, de fait, 25 métiers et pas moins de 80 qualifications répartis dans quatre branches: métiers des opérations navales, de l’énergie-propulsion, du nucléaire et du soutien.

Mais voilà, depuis la crise sanitaire, plus vraiment de salons pros et d’événements en tous genres pour rencontrer les représentants de cette face immergée, évidemment très discrète, de la Marine Nationale.

Aussi, en novembre dernier, le Ministère des Armées a-t-il mis en place un système inédit pour comprendre (et pourquoi pas s’engager dans) ces métiers, qu’exercent plus de 3000 marins des forces sous-marines: un chat en direct avec des représentants sous-mariniers actuellement en poste. Les types de questions restent souvent les mêmes, mais ne manquent pas: «Comment rejoindre les forces sous-marines avec le niveau BAC?», «Qu’est-ce qu’une oreille d’or?», «Quels sont les métiers des marins formant l’équipage d’un sous-marin?», «Quelle est la différence entre un Sous-marin nucléaire lanceur d’engin (SNLE) et un Sous-marin nucléaire d’attaque (SNA), etc.?»

De nouvelles campagnes de recrutement en vue

Après le succès de la première session, une deuxième a été organisée en mars 2021, cette fois avec un jeune sous-marinier, un second-maître, détecteur acoustique sur sous-marin (Expert du système sonar, son travail est de détecter et d’identifier les mobiles qui entourent le sous-marin jusqu’à des centaines de kilomètres), qui avait déjà effectué des patrouilles, et surtout fait partie de l’équipage du SNLE Le Téméraire, notamment lors qui a effectué un tir de missile balistique M51 d’exercice, vecteur de la dissuasion nucléaire française, le 12 juin 2020.

Au vu du succès de ces campagnes de recrutement pour le moins originales, notamment pour les forces sous-marines françaises, de nouvelles se préparent dans les prochains mois.

Source : etudiant.lefigaro

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