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France / Rentrée universitaire : le passe sanitaire en cours «n’est pas à l’ordre du jour» indique Frédérique Vidal

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La ministre de l’Enseignement supérieur précise aux Échos les modalités de la rentrée prochaine.

La ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal a détaillé aux Échos la possibilité d’un passe sanitaire à fournir par les étudiants dès la rentrée prochaine. «À ce stade, le passe sanitaire pour la reprise des cours n’est pas à l’ordre du jour pour les universités», a-t-elle précisé arguant que les étudiants sont plus nombreux à être vaccinés que la moyenne des 18-24 ans.

Il n’est cependant pas exclu que ce dernier soit requis dans un autre cadre. «Nous sommes en train de travailler la question pour les événements d’intégration organisés à la rentrée, pour permettre aux étudiants de se retrouver.» Ainsi, «dans ce contexte festif, les établissements, notamment les écoles, demandent de pouvoir faire usage d’un passe sanitaire».

À l’évocation d’un projet de circulaire prévoyant une éventuelle organisation de demi-jauges, la ministre a d’abord confirmé sa volonté d’une rentrée à 100% en présentiel puis a évoqué un «plan B». «Au regard de l’évolution sanitaire, il faut qu’on puisse avoir un plan de secours.»

Réforme des bourses: «On y travaille»

S’agissant de la création de places à l’université, annoncée au début du mois de juillet, Frédérique Vidal déclare à nos confrères: «Nous nous sommes concentrés sur les formations qui ne dépendent pas de l’État, avec le soutien aux régions sur les places en Instituts en formation en soins infirmiers (IFSI) pour les rentrées 2020, 2021 et 2022.» Seront également concernées les «formations à bac +1 ou d’intérêt local». Les étudiants, indique Frédérique Vidal, peuvent également bénéficier de prêts étudiants garantis par l’État «avec une hausse de 10.000 à 50.000 bénéficiaires en 2021-2022».

Le 7 juillet dernier, un rapport du Sénat préconisait de réformer le système des bourses du Crous. Il révélait que 26% des étudiants déclarent ne pas avoir assez d’argent pour couvrir leurs besoins. Interrogée à ce sujet, Frédérique Vidal assure ne rien pouvoir «dire de certain». «Mais on y travaille.»

Source : etudiant.lefigaro

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